29 octobre 2010

Et un autre!

Non mais ça devient vraiment un running gag dans ma vie! Je devrais me partir une collection de gars dans la trentaine. En fait, je commence à me demander si c'est pas juste les gars de mon âge qui sont moumounes pis qui osent pas s'exprimer...

Je suis au IGA (un hot chicken pas de sauce à hot chicken, c'est comme pas pareil). À la sortie, comme d'habitude, j'agite ma main au-dessus de ma tête pour que le lecteur optique qui ordonne à la porte d'ouvrir fasse sa job (c'est nain-proof, ce truc).

Gars dans la trentaine qui me suit - Héhé, t'es pas assez grande pour que la porte ouvre?

Petite moi - Ça a bin l'air que non hihi.

Gars dans la trentaine qui me suit - C'est pas grave : t'es moins grande, mais t'es plus belle que les autres.


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28 octobre 2010

Entendu à la Brûlerie Limoilou

En guise d'introduction à ce ''entendu à'', j'aimerais saluer l'initiative des proprios de la Brûlerie St-Roch de l'avoir engrossée et d'avoir implanté le fœtus limoulois à 2 minutes de marche de mon appart. Ça me rend toute connerie se prêtant bien à mon blog encore plus accessible, pis ça, c'est de la joie pure. Yay!

Und so...

Le client con - C'est quoi, ça?

La serveuse souriante malgré tout - Ça, c'est des chaussons aux pommes.

Le client con - Y'a-tu des pommes là-dedans?


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27 octobre 2010

Pis si au moins...

Je fais de l'aide aux devoirs. Des première année. Cute. J'adore ça.

Ils sont trois : appelons-les Curieux, Turbulent et Téteuse. J'apporte des crayons à chaque séance parce qu'ils doivent laisser les leurs dans la classe (j'ai pas encore compris tous les nébuleux détails des règlements de l'école).

Je, version voix de Dora - Turbulent, tu arrêtes de jouer avec le crayon tout de suite et tu le déposes sur la table, ou j't'en prêterai pu.

Téteuse - Ouin, parce qu'y faut pas que tu le brises parce que ça coûte de l'argent!

Turbulent, en me pointant - C'est pas grave, c't'une adulte, elle, fak elle a plein d'argent.

C'est qui le dude qui a dit que la vérité sortait de la bouche des enfants??


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19 octobre 2010

Entendu (...lu) sur msn

Brun

Gilles -
Le brun est la seule vraie couleur qui existe; les autres sont seulement la création des gens dits "non-daltoniens" (du monde bizarre à qui c'est mieux de pas parler).


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18 octobre 2010

Entendu à la clinique (un autre)

Une maman fait réviser son garçon en attendant pour sa fille.

Maman - C'est ça, c'est bon! ''Maouw de lonne'', bravo. Ok, le prochain?

Garçon - Ké.

Maman - ''Mek heure aouw bède.''

Garçon - ''Make'', m-a-k-e; ''heure'', h-e-r; ''o''... c'est quoi ça veut dire, l'autre mot?

Maman - Je l'sais pas mon amour, cherche dans ton dictionnaire dans les O. Pis t'as fait une faute : mek, c'est avec un s, ça prend toujours un s.

Val, pas pu s'en empêcher - En fait, ça prend un s juste parce que c'est à la troisième personne du singulier, c'est elle qui fait son lit... I make, you make, he-she-it makes...

Maman - Ah! Ah oui, c'était ça... Merci! Pis mon gars, qu'est-ce que ça veut dire, aouw?

Garçon - Posséder, avouer, marque la propriété, propre... J'comprends rien!!


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17 octobre 2010

Entendu à la clinique

Lui pis Elle sont à la clinique pour Elle. Ils chialent depuis une heure parce qu'une petite fille pleure dans la salle d'attente pis que ça les gosse (la petite fille en question fait de la fièvre, pauvre cocotte). Comme la moitié des femmes dans la salle, Elle lit un magazine à potins, mais en passant ses commentaires à voix haute pour que tout le monde la regarde (''ark, c'est bin cave ça, criss!'', ''on s'en câliss de Britney!'', ''C'est qui ça, Tori Spelling?'').

D'emblée, je regarde Elle et Lui et je les trouve vraiment imbéciles.

Ils en rajoutent subtilement :

Lui - Ouin, mon chum de gars regarde une nouvelle affaire de série québécoise à la tévé, c'est sur V.

Elle - Ah ouin? Ça doit être bon si c'est sur V!


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15 octobre 2010

Céline

Est-ce que ça vous est déjà arrivé de très bien entendre la musique qu'écoute votre voisin dans l'autobus parce que le son de son iPod (ou bin de son walkman sony jaune sport) est trop fort?

Personnellement, ça met ma switch ''jugement'' à on. La dernière fois que ça m'est arrivé, disons que j'avais bien rigolé en regardant un mastodonte au look métal écouter une toune des Cranberries. Et le fait d'autant remarquer la chose me rend peut-être un peu parano.

D'abord, sachez que j'ai fait des tests de son chez moi lorsque j'ai eu mes nouveaux écouteurs afin de déterminer le volume maximal auquel je pouvais écouter ma musique sans que la personne à côté de moi l'entende. Je connais donc la limite. Parfois, je pousse la limite un peu plus loin par amour profond pour une chanson, je l'avoue, mais comme ladite limite est assez élevée (et par respect pour mes tympans), je reste normalement en-dessous.

Maintenant, parlons de ce matin.

Ce matin, c'était nuageux et il ventait à tout rompre, un vrai automne méchant qui vide les arbres de leurs dernières feuilles de façon assez efficace merci et qui met au défi tout bon fixatif de tenir mon chignon en place (fail, d'ailleurs). Mon random de iPod, qui a souvent un bon sens de l'humour, m'a cette fois sorti une chanson totalement de circonstance, une chanson qui déplace autant de passions que le vent d'octobre : It's All Coming Back To Me Now de Céline Dion.

But you were history with the slamming of the door! (tonnerre)

Soyons clairs :
1- Oui, j'ai du Céline Dion sur mon iPod.
2- Oui, j'aime quelques chansons de Céline Dion.
3- Je me fous pas mal de ''take a kayak''.

Mais quand même, j'avoue ici que je suis soucieuse de mon image et que je n'ose pas affirmer haut et fort dans une 800 bondée que j'écoute Céline avec passion et dévotion à 8 heures du matin. Parce que si j'ai pu me permettre de juger un gars qui écoutait du Cranberries, imaginez comment tout le monde pourrait se permettre de me juger moi avec mon Céline...

J'attends donc l'autobus dans le vent, le son bien fort. Lorsque j'y entre, je m'assure que le son soit à une force raisonnable et je jette de fréquents coups d'œil à mes voisins pour être certaine de ne déceler aucun sourire ironique sur le bord d'une lèvre. Rien.

Génial.

Une seule écoute, et ensuite je change de chanson.

Ok, une deuxième écoute, et ensuite je change de chanson.

(...)

Bin je l'ai écoutée tout le long. Toute la demi-heure fût Célinisée dans mes oreilles. Et même ma marche dans les couloirs sous-terrains de l'université, oui oui.

But when you touch me like this! (boudoudoum!)
And you hold me like that! (tiketi!)

J'y peux rien, c'est trop bon, cette chanson-là! C'est tellement glorieux là, le piano, le waaamm de la guit électrique qui apparaît par magie au bon moment, le chœur, les percussions pis les castagnettes, même le clip avec le fantôme pis un manoir pis des miroirs douteux qui défilent des souvenirs mal découpés sur les contours : c'est tout simplement la glorification de la gloire, c'te toune-là!! foo-oo-oo-reeeeever

J'AIME CÉLINE DION!

J'ai fini. Vous pouvez me juger. Et si en prime vous me croiser dans l'autobus, vous pourrez esquisser un petit sourire ironique. Je comprendrai que vous savez.


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7 octobre 2010

Après les journées 2, le beau temps

J'aime vraiment quand la vie s'organise pour détruire tout mon cynisme.

Souriez, tout le monde!

6 octobre 2010

Une journée 2

L'autre jour, je lisais un article de l'Actualité dans une salle d'attente de l'hôpital. Ça traitait (traitement : toubidou-tsscchhh!!) de nouveaux médicaments découverts et il y avait une phrase qui ressemblait très exactement à ceci : ''Quand Novartis a annoncé les résultats des essais cliniques lors d'un congrès scientifique, des chercheurs pleuraient tellement c'était incroyable.'' Et plus loin : ''Ces trois scientifiques américains ont été récompensés pour avoir mis au point le premier traitement intelligent du cancer. Rien de moins.''

Bin j'avais la larme à l'œil. Je trouvais ça vraiment beau.

J'ai jamais été une grosse braillarde jusqu'à récemment (j'arrondis mon récemment aux 5 dernières années). On dirait que c'est venu tard, chez moi, cette envie fée-fille de fondre en larmes. J'étais beaucoup trop cool pour ça au secondaire pis au primaire, tsss...

Ce qui m'amène à vous parler de. Oui, de.

Du fait que c'était une bonne chose que j'm'y mette, au braillage, parce que ça passe bien, une fille qui pleure, non?

Avouez.

C'est comme normal, c'est dans la suite logique des choses de la vie. Devant la frustration, la déception, la tristesse, la joie, la honte, le mépris, l'indignation, le découragement, le spm : une fille, bin ça braille. Pis devant les mêmes maudites situations/émotions, un gars, ça crisse un coup de poing sur la table en disant ''câliss''.

Bête de même.

J'alterne donc entre deux états en conflit perpétuel.

D'un côté, j'ai mes journées 1 (la plupart) où je suis toute fière. J'suis fière d'être féminine, d'aimer mon Châtelaine reçu chaque mois dans ma boîte à malle (oui oui, à malle), de magasiner des nouvelles bottes cutes, de ne rien connaître en finances, d'écrire un blog girlie, de regarder la Galère, d'aimer Marie Laberge et les comédies romantiques prévisibles, de chanter du Céline à tue-tête, de vouloir des enfants pis un homme fort à mes côtés pour me soutenir, d'être à fleur de peau. Je suis toute fière.

De l'autre côté, y'a toutes ces journées 2 où je me lève avec la rage au ventre, l'indignation dans le trémolo, la honte. J'ai honte d'avoir le réflexe de demander à un gars pour poser une tablette, de ne pas faire moi-même mes impôts, d'être l'esclave de mon cache-cernes (qui, en fait, cache mon acné, que j'ai honte d'avoir encore à mon âge), de m'arranger les cheveux pendant une demi-heure, de ne pas pouvoir écrire autre chose que mes sentiments ou mes histoirettes cu-cutes qui sentent le parfum Dans un jardin à 10 km à la ronde, d'attendre papa pour réparer la plomberie sous l'évier, de voir que mon programme d'études aux perspectives d'emploi intéressantes mais sous payées est rempli de filles à 90 %, de réaliser que j'me sentirai jamais vraiment accomplie tant que j'aurai pas fait de bébés, d'encourager certains stéréotypes, d'emprunter des chemins plutôt traditionnels dans la vie alors que toutes ces femmes avant moi se sont battues pour que toutes les portes soient ouvertes. J'ai vraiment honte.

Être une fille, c'est pouvoir tout faire, mais choisir encore et toujours de ne rien faire de différent.

Être une fille, c'est ne sortir de cette zone de confort qu'une fois de temps en temps, une journée 2 parmi mille journées 1. Crisser un coup de poing sur la table. Dire ''câliss''.


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3 octobre 2010

West Edmonton Mall, manne

Je ne sais pas si vous êtes de ma génération.

Je ne sais pas non plus combien de temps il est légal de conserver le même cahier de lecture dans une matière enseignée au secondaire.

Toujours est-il que si vous êtes un cépage des années 80, probablement que vous avez comme moi découvert le West Edmonton Mall dans un cours d'anglais au secondaire.


Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaa le West Edmonton Mall...

Foul de boutiques, foul de jeux, un sous-marin, un zoo, une méga piscine, un hotel, des chambres thématiques : le rêve, quoi. Avec mes amies de filles, on s'était dit que plus tard, on ferait un road trip jusqu'au West Edmonton Mall pour enfin voir en vrai ce que c'est pis qu'on dormirait dans la chambre thématique africaine.

Bon.

Ok, on s'entend qu'on l'a pas fait. Si je peux me permettre de répondre à un blog lu récemment, je dirais que la vie, c'est un peu comme le West Edmonton Mall. Quand on s'en fait parler, plus jeune, on est vraiment impressionné, on se dit que ça doit être quelque chose de drôlement excitant pis on a hâte de grandir pour pouvoir l'expérimenter.

Puis, on grandit. On se rend compte que les chambres thématiques ont en fait une décoration assez cheap-quétaine merci, et que les boutiques restent en majorité les mêmes que dans tout bon centre commercial qui se respecte. On réalise que des glissades d'eau, y'en à Bromont, pis que la Ronde a des manèges pas mal plus excitants que ceux du West Edmonton Mall (et même la Ronde, on s'en lasse).

C'est un peu comme ma sœur qui est entrée dans une maison identique à celle de notre enfance et qui m'a dit : ''Me semble que la cuisine me paraissait vraiment plus grosse quand j'étais petite : en vrai, c'est minuscule!''

On est juste vieux, on connaît plein de trucs, on a un esprit critique. Notre vision des choses n'est plus la même. On pourrait être tenté de chigner qu'on s'est fait vendre du rêve, comme mon livre d'anglais qui faisait de la propagande capitaliste (j'me trouve vraiment drôle, lol lol lol) en nous vantant les mérites d'un simple centre d'achats (je sais, c'est un anglicisme, j'm'en fous). On pourrait faire ça.

Mais le truc, c'est que le West Edmonton Mall, il existe encore. Ce n'est pas un mirage. Il est comme dans mon livre, sûrement même upgradé. Il n'est pas responsable de mon intellect qui s'enorgueillit d'un esprit critique.

Au fond, si j'ai envie de trouver ça hot, encore aujourd'hui, le West Edmonton Mall, bin il n'en tient qu'à moi de le faire. Mon point de vue a changé en 10 ans; il peut encore le faire si j'le provoque un peu.

Y'a personne qui va arriver devant moi par magie pour me dire qu'au fond, le West Edmonton Mall est encore plusss plusss hot que tout ce que j'avais pu imaginer à 14 ans.

Y'a personne qui va vous arrêter dans la rue pour essayer de vous convaincre que la vie est superbe (ah zut, peut-être que oui au fond, peut-être un illuminé d'une secte quelconque, mais écoutez-le pas, y veut votre argent) : c'est à vous de vous en convaincre. C'est votre job. C'est entre vos mains.

Yo gang, ça existe pas, la magie.


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2 octobre 2010

Pu capable

Vous trouvez pas qu'on se fait infantiliser? En fait, vous trouvez pas qu'on infantilise tout le monde?

Quand quelque chose de grave se passe, quand quelque chose d'important se produit et que ça concerne quelqu'un qu'on aime, on veut pas que la personne le sache. Bin non tsé, faudrait pas le dire à grand-maman, tu sais bien qu'elle est fragile... Oh non, mieux vaut pas le dire à ton oncle là, y va s'inquiéter pour rien. Heille, parle surtout pas de ça à ton chum, y va capoter bin raide... Faut protéger tout le monde, faut pas parler des mauvaises affaires, la vie va juste toujours bien, allô, faut pas que le petit William apprenne que le Père-Noël du magasin est en fait un B.S. qui se fait engager un mois et demi par année parce qu'il a une barbe blanche pis un gros ventre!

Ça vous est pas venu à l'idée que des fois, c'est normal de capoter, de freaker, de s'inquiéter? Que ça fait partie de la vie?

Ça me tape vraiment sur les nerfs quand les gens prennent comme ça des décisions à la place de leurs proches. Qui sont-ils pour savoir ce qui est mieux? Et où est le libre arbitre de la personne, dans tout ça?

Si je prends un exemple complètement et totalement fictif d'un gars X qui serait suicidaire, mettons, et qui cache le tout à sa mère Y pour ne pas la faire capoter : on s'entend-tu que Y va capoter en tabarnak quand on va retrouver X pendu dans le boisé derrière chez lui? Et que ça va donner aux nouvelles le genre de reportage débile où tout le monde dit ''on l'a pas vu venir... X nous avait jamais parlé de rien, il avait l'air bien''. Bin non, vous l'avez pas vu venir, c'est sûr, parce que X, y voulait tellement vous protéger pour ne pas que vous vous inquiétiez! Ç'aurait été bien trop dramatique si vous vous étiez fait du mauvais sang et que ce sentiment avait été pour vous un moteur pour essayer de l'aider et que, ô malheur, votre aide aurait amélioré la situation! Et que ça ferait en sorte que X serait encore vivant aujourd'hui! Oula, surtout pas, non, pitié...

Y'a rien qui arrive pour rien. Y'a des sentiments qu'on déteste ressentir, mais qui nous poussent à l'action, et qui en ce sens sont bons pour nous.

Si j'apprends que j'ai de sérieux problèmes de santé, cette information va me faire peur, mais elle va aussi me pousser à me prendre en main, à essayer de changer mes habitudes de vie, etc. Mais si on décide de ne rien me révéler pour ne pas que je m'inquiète, mais qu'on me dit ''tu sais, faudrait changer tes habitudes...'', j'vais me dire que c'est bien beau mais que j'm'en fous.

Si ça vient pas nous chercher, on se sent pas vraiment concerné.

La peur. L'inquiétude. Freaker, capoter, badtripper, se faire du mauvais sang : C'EST SAIN! (Des fois, j'veux dire, dans les vrais cas graves là.)

Fak si vous avez quelque chose à dire à quelqu'un, dîtes-le, merde. Dîtes-le! Ça va peut-être changer sa vie... ou la vôtre. Ou une autre.


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1 octobre 2010

Le jeu du chat et de la souris, un photoroman palpitant [tome 2]

Last week in Le jeu du chat et de la souris, un photoroman palpitant...

Issues ont été bloquées, bottes ont été enfilées, armes ont été préparées : il ne nous restait plus qu'à contacter notre meilleur expert pour commencer les fouilles.

Le voici qui commence le travail.


Notre meilleur expert semble flairer une piste qui pourrait nous mener droit au coupable.


Ça y est l'odeur du sang et du mal ne ment pas : il y a un intrus dans ce trou, bordel! Tellement que l'intrus s'affole, provoque un bruit immense (tic-tic-tic-pôk), surprend notre meilleur expert, qui revole 10 pieds de haut en poussant un miaulement viril et qui se sauve, ce qui fait hurler comme une fée-fille votre dévouée narratrice.

(...)

Notre meilleur expert est une sale mauviette.


Heureusement pour lui, j'ai un appareil de haute qualité qui pourra me prendre un cliché précis de la scène du crime, où il semble déjà y avoir un dispositif de sécurité...

Ne vous méprenez pas : je ne me suis quand même pas approchée, tsss, j'ai vraiment trop peur à ma vie (hihi), alors vive le zoom de ma caméra!


Telle est la question.


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